Quelques projets de recherche


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Centre Maurice-Leenhardt de recherche en missiologie

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    Créé en 2006, dans le cadre de l’Institut Protestant de Théologie (IPT), le Centre Maurice-Leenhardt de Recherche en Missiologie a pour objectif de promouvoir la recherche en missiologie et de favoriser sa diffusion par l’organisation de colloques ou de journées d’études interdisciplinaires, par la tenue d’un séminaire annuel destiné aux étudiants chercheurs (niveau Master Recherche et Doctorat) et par la constitution progressive d’un fonds de documentation.

Responsables

Jean-François ZORN (histoire du christianisme à l’époque contemporaine)
Marc BOSS (théologie systématique)

Le patronage symbolique de Maurice Leenhardt

    Originaire d’une famille montpelliéraine, Maurice Leenhardt (1878-1954) a été missionnaire en Nouvelle-Calédonie entre 1902 et 1928, il ramène de cette expérience un matériel scientifique dont ses travaux ultérieurs exploiteront la richesse. À son retour en France, il prend la direction de l’École des missions protestantes à Paris et fonde en 1932 la revue Le monde non chrétien. En 1942, il est nommé à la chaire d’histoire des religions de l’École Pratique des Hautes Études (Paris-Sorbonne), où il succède à Marcel Mauss. (...)
     Dans Le mouvement éthiopien au Sud de l’Afrique de 1896 à 1899, Leenhardt esquisse les grandes lignes de sa critique des conceptions coloniales de la mission. Dans son maître ouvrage intitulé Do Kamo. La personne et le mythe dans le monde mélanésien (1947), il récuse l’idée d’une " mentalité prélogique " (Lucien Lévy-Bruhl) chez les peuples premiers en montrant que mythe et raison sont deux modes complémentaires de la pensée universelle. Cette intuition centrale de son travail ethnographique oriente également la missiologie postcoloniale dont la revue Le monde non chrétien contribue dès les années 1930 à dessiner le programme. (...)

Prochainement :




Renouveler l’utopie missionnaire

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Le contexte d’une Afrique en pleine mutation appelle à une nouvelle utopie missionnaire qui s’articulerait autour de quatre idées-force : la mission comme service, protestation, propositions, mission ici et là-bas. (...)

Paulin POUCOUTA, Professeur d’Ecriture Sainte
Faculté de Théologie, Institut Catholique de Yaoundé
B.P. 11628 Yaoundé             poucouta@hotmail.com


Syncrétisme et identité

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Jesus Imandars and Christ Bhaktas. Two Qualitative and Theological Studies of Syncretism and Identity in Global Christianity.
what does continuity with Christian theological tradition and uniqueness among religions imply for a globalized, polycentric Christianity?
(Deux études qualitatives et théologiques du syncrétisme et de l'identité dans le christianisme mondial. Qu'impliquent la continuité avec la tradition théologique chrétienne et le caractère unique du christianisme parmi les religions ? impliquent pour une christianisme globalisé et polycentrique)


Jonas P. Adelin JOERGENSEN
Ph.D. student, Department for Systematic Theology
The Theological Faculty, University of Copenhagen
Koebmagergade 44-46, DK-1150 Copenhagen K, Denmark
     
Ph. +45 35 32 37 72
Fax +45 35 32 36 84
Website www.teol.ku.dk
E-mail : jaj@teol.ku.dk


The new dimensions of traditions

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Maria Serafimova

In the times of totalitarian rule in the Bulgarian society, the term religion was excluded from the communist vocabulary. At the same time the religious metamorphosis of communism transformed it into a closed code of meanings, whose interpretation is solely in the hands of a clerical group, that imposed its' power. (...)
    The abatement of religious sentiment is a result of deep penetration of secular elements in the meaning of many of the Christian ceremonies. The atheism as an extreme form of secular monopolism had significantly influenced the attitude that the Bulgarian society has towards religion. The influence and social prestige of religious institutions was diminished. The contemporary Bulgarian society, being in a transition from totalitarism to democracy, had been formed by atheism. As a state ideology the atheism in Bulgaria openly proclaimed the necessary eradication of religion.
After the fall of totalitarian society, the Orthodox Church and other churches in Bulgaria experienced a revival. Church rituals such as baptisms and church weddings attracted renewed interest, and traditional church holidays were observed more widely. Christmas 1990, the first Christmas under the new regime, was widely celebrated and greatly promoted in the mass media.
    The old paternalistic structures had been destroyed on an individual and also on a collective level. When those, who had revolted against these values, finally annihilate them, a gigantic necessity for a new authoritarian submission arose. (...)

    [...]

    The reversion to traditional system of religious ceremonies and holidays is characteristic for the Bulgarian society. This fulfills people's need for collective co-experience, spiritual and social integration.  (...)